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Préambule
01 – C’est ma vie, pas la vôtre.
Moi, je suis dyslexique. J’essaie de faire le moins de fautes possible,
mais c’est très dur.
Aujourd’hui, l’homme a créé l’intelligence artificielle. Pourquoi ? Avec
les USA, c’est sans doute pour le profit, pas pour aider les « tocards » comme
moi.
Je suis né en 1945, après que ma mère « ait peut-être été violée par
un G.I ». En me lisant, vous comprendrez pourquoi je doute encore
aujourd’hui.
Ma vie a commencé dans la douleur, et depuis, j’ai toujours dû me battre
pour exister, pour que ma voix compte, même un tout petit peu.
Ce blog n’est pas une leçon, ni un plaidoyer. C’est simplement mon
histoire, racontée telle que je l’ai vécue.
Né probablement après cette horreur.Ça bouillonnait brutalement dans le corps de l’homme qui possédait cette jeune
femme avec violence — une mère de deux enfants.
Nous étions en janvier 1945. La guerre était encore là, visible partout.
Paris, par chance, avait été relativement épargné, mais les traces restaient
dans les rues, dans les regards, dans les silences.
Suzanne était allée porter le déjeuner à son mari, Gibert. Il l’avait
oublié en partant tôt le matin de chez Henriette, où ils vivaient
provisoirement, dans l’attente d’un logement HLM, chemin de la Montagne, à
Bry-sur-Marne. « Henriette était la mère de Suzanne ».
Il faisait froid. Un froid humide, lourd, qui collait aux vêtements et aux
pensées. Suzanne marchait vite, la tête baissée, pressée de rentrer après avoir
déposé le petit casse-croûte de son mari, qui travaillait là comme sellier, rue
du Faubourg-Saint-Antoine, dans un petit atelier où les fauteuils de cinéma et
de théâtre étaient rénovés. Suzanne se dépêcha très vite de rentrer après cela,
sans se douter que cette journée allait laisser une trace indélébile.
Le soldat approcha, son uniforme impeccable tranchant avec la désolation
alentour. Suzanne sentit son cœur battre à toute vitesse. La peur lui nouait la
gorge : elle, la petite campagnarde, ne savait pas comment échapper à ce danger
qui surgissait de nulle part. Elle était paralysée, incapable de résister à
cette force qui semblait vouloir tout contrôler autour d’elle. Son esprit
criait « non », mais son corps ne lui obéissait plus. L’horreur de la situation
l’envahit, un mélange de surprise, de terreur et d’impuissance. Elle se demanda
comment elle pourrait survivre à ce moment. Elle se débattait de toutes ses
forces, mais l’homme était trop puissant. La peur la submergea et elle perdit
connaissance.
Quand elle reprit ses esprits, il avait disparu, mais elle avait mal au
ventre et au sexe ; un liquide épais coulait de son pubis encore dégagé, à
l’air libre. Suzanne, encore tremblante, rabaissa sa jupe. Pour sûr, le violeur
avait eu juste le temps de faire sa petite affaire avec la jeune personne.— Quelle horreur ! dirent alors des passants, alertés par le vacarme ; ils
étaient arrivés trop tard. La rue était isolée, un raccourci qu’elle prenait
pourtant souvent.
Tout autour, la terreur et l’incompréhension s’entrechoquaient dans son
esprit : ce moment resterait gravé dans sa mémoire, un traumatisme qu’elle ne
pourrait jamais effacer.
Il fallait rester fière et vite oublier ce moment. La jeune femme se leva,
aidée par un vieux monsieur et une autre jeune femme — sûrement sa fille.
Arrivée à Bry-sur-Marne par le train, chez sa maman, qui devait être dans
le jardin avec sa sœur Raymonde, elle se précipita sous la douche et se nettoya
en insistant sur ses parties génitales. La honte montait en elle ; elle se dit
: « Je dois rester forte et vite oublier. »
Dans le même temps, une autre lutte se produisait dans les entrailles de la petite jeune femme : une course pour arriver le premier dans l’ovulation. La bataille fut rude ;
Un seul spermatozoïde devait percer l’œuf pour le féconder.
« La pauvre : juste une goutte de liquide séminal suffit pour qu’une vie se
développe. »
« Cette femme touchée par l’agression sexuelle ne vivra pas nécessairement
sa grossesse, l’accouchement et la parentalité de la même façon. Certaines
d’entre elles s’adaptent très bien et ne connaîtront pas plus de détresse que
les autres. » Cependant, chez certaines femmes qui continuent à subir les répercussions
de l’agression sexuelle, le risque d’éprouver des difficultés est grand.
Suzanne n’a rien dit en revenant chez sa mère, rien dit à sa sœur Raymonde,
sa sœur Lucienne, qui était trop jeune pour comprendre, son frère Jean, alors
lui bof ! Enfin bon, « alors moi je suis resté sage dans ce ventre meurtri »,
et puis je n’y étais pour rien, mais pourtant j’allais le payer longtemps, ce
viol de janvier 1945.
Après six mois, ma génitrice commençait à s’apercevoir que des changements
dans son corps arrivaient, ce qui la perturbait : « que m’arrive-t-il ? ».
Occulté, oublié, le viol. Comme elle avait eu un rapport sexuel peu de
temps après son agression, elle se dit : bah voilà, quatorze mois après René,
je me retrouve encore enceinte.
Le soir, quand Gilbert rentra du travail, elle lui dit :« Je crois que je suis encore enceinte. »— Mais depuis quand ?« Je ne sais pas, peut-être six mois. Regarde mon ventre. Je me sentais bien
grossir, mais pas d’une grossesse. »
Son mari lui dit :« Mais Suzanne, c’est impossible, je me suis retiré à chaque fois. Non, il y a
sûrement une autre raison. »
Les pleurs de la femme ne calmèrent ni la surprise, ni la colère du mari.
Alors elle lui dit pardon, pardon, « en grommelant un langage presque inaudible
». Gilbert a juste retenu :« Viol ».— Quoi ? Tu dis quoi ? Vi… ol ? Tu as été violée ? Mais quand ?« Au mois de janvier, par un soldat. J’avais tellement honte que j’ai voulu
oublier. Je te jure, je me suis débattue, mais il était fort et me serrait
tellement puissamment le cou que je me suis évanouie. À mon réveil, il était
parti. Comme j’avais un liquide gluant sur mon sexe, je ne pouvais pas croire
tomber enceinte. »
Gilbert dit haut et très fort :« Je ne veux pas de ce truc dans ton ventre. »La suite ici
01-Ma généalogie
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Céline Dion chante l'hymne à l'amour sous la tour Eiffel
Moi à 17 Ans
Introduction
Vivre à 80 ans est une étape importante de la vie, qui marque souvent le début de la vieillesse. Cependant, cela ne signifie pas que la vie s’arrête à cet âge. Au contraire, de nombreuses personnes de 80 ans et plus mènent une vie active et épanouissante, pleine d’expériences enrichissantes, de conseils précieux et de défis à relever.
Dans cet article, nous explorerons différentes expériences vécues par les personnes âgées de 80 ans et plus, ainsi que les conseils qu’elles peuvent partager avec nous. Nous discuterons également des défis auxquels elles sont confrontées et des façons dont elles les surmontent.
Vivre à 80 ans est une étape importante de la vie, qui marque souvent le début de la vieillesse. Cependant, cela ne signifie pas que la vie s’arrête à cet âge. Au contraire, de nombreuses personnes de 80 ans et plus mènent une vie active et épanouissante, pleine d’expériences enrichissantes, de conseils précieux et de défis à relever.
Dans cet article, nous explorerons différentes expériences vécues par les personnes âgées de 80 ans et plus, ainsi que les conseils qu’elles peuvent partager avec nous. Nous discuterons également des défis auxquels elles sont confrontées et des façons dont elles les surmontent.
Expériences vécues à 80 ans
À 80 ans, de nombreuses personnes ont déjà vécu une vie riche en expériences. Elles ont souvent élevé une famille, travaillé pendant de nombreuses années et ont peut-être même voyagé à travers le monde. À cet âge, elles peuvent profiter de leurs petits-enfants et arrière-petits-enfants, partager leurs souvenirs et leur sagesse accumulée au fil des ans.
De plus, certaines personnes de 80 ans et plus ont également la possibilité de se consacrer à leurs passions et hobbies. Elles peuvent poursuivre leurs intérêts artistiques, participer à des activités communautaires ou s’engager dans des projets bénévoles. Ces expériences leur permettent de rester actives mentalement et physiquement, ce qui est essentiel pour une vie équilibrée et épanouissante.
En résumé
À 80 ans, de nombreuses personnes ont déjà vécu une vie riche en expériences. Elles ont souvent élevé une famille, travaillé pendant de nombreuses années et ont peut-être même voyagé à travers le monde. À cet âge, elles peuvent profiter de leurs petits-enfants et arrière-petits-enfants, partager leurs souvenirs et leur sagesse accumulée au fil des ans.
De plus, certaines personnes de 80 ans et plus ont également la possibilité de se consacrer à leurs passions et hobbies. Elles peuvent poursuivre leurs intérêts artistiques, participer à des activités communautaires ou s’engager dans des projets bénévoles. Ces expériences leur permettent de rester actives mentalement et physiquement, ce qui est essentiel pour une vie équilibrée et épanouissante.
En résumé
Ma vie en un souffle
Je suis né en 1945, balloté dès le premier souffle dans une vie qui ne m’épargnait rien. Enfance transbahutée, maisons de famille, grands-parents, tantes, punitions, froideur et violence. Mon frère Jean‑Claude rejeté, ma sœur Chantal fragile, condamnée dès la naissance, partie trop tôt après des souffrances que personne ne devrait connaître. Moi, petit garçon, j’ai goûté au sang et à la peur, j’ai vu la mort frôler mes proches et j’ai appris que l’amour pouvait être à la fois rare et douloureux.
Pourtant, j’ai grandi. J’ai appris à survivre, à aimer malgré les blessures, à me battre malgré mes limites et ma dyslexie. Le service militaire fut ma première vraie liberté, les premiers amours mes premiers éclats de lumière dans un monde souvent dur et cruel. J’ai connu des joies, des enfants que j’aime, des liens vrais, mais aussi des séparations, des divorces, des pertes qui déchirent.
Aujourd’hui, à 80 ans et presque quatre mois, je regarde mon chemin : des souvenirs qui brûlent encore, des rires et des pleurs, des étreintes et des absences. J’ai souffert, j’ai perdu, j’ai pleuré et j’ai survécu. Mais j’ai aussi aimé, sincèrement, profondément. Je suis l’homme forgé par ses blessures et ses éclats de bonheur, debout, malgré tout, portant mon histoire entière, avec sa lumière et ses ombres, et je sais que ce qui me reste de force vient de chaque douleur que j’ai traversée.
Je suis né en 1945, balloté dès le premier souffle dans une vie qui ne m’épargnait rien. Enfance transbahutée, maisons de famille, grands-parents, tantes, punitions, froideur et violence. Mon frère Jean‑Claude rejeté, ma sœur Chantal fragile, condamnée dès la naissance, partie trop tôt après des souffrances que personne ne devrait connaître. Moi, petit garçon, j’ai goûté au sang et à la peur, j’ai vu la mort frôler mes proches et j’ai appris que l’amour pouvait être à la fois rare et douloureux.
Pourtant, j’ai grandi. J’ai appris à survivre, à aimer malgré les blessures, à me battre malgré mes limites et ma dyslexie. Le service militaire fut ma première vraie liberté, les premiers amours mes premiers éclats de lumière dans un monde souvent dur et cruel. J’ai connu des joies, des enfants que j’aime, des liens vrais, mais aussi des séparations, des divorces, des pertes qui déchirent.
Aujourd’hui, à 80 ans et presque quatre mois, je regarde mon chemin : des souvenirs qui brûlent encore, des rires et des pleurs, des étreintes et des absences. J’ai souffert, j’ai perdu, j’ai pleuré et j’ai survécu. Mais j’ai aussi aimé, sincèrement, profondément. Je suis l’homme forgé par ses blessures et ses éclats de bonheur, debout, malgré tout, portant mon histoire entière, avec sa lumière et ses ombres, et je sais que ce qui me reste de force vient de chaque douleur que j’ai traversée.
01-Ma généalogie
03-Début d'inconscience
05-Souvenir marqué par le sang
07-Adolescence et turbulences dangereuse
08-Passage obligé vers la majorité
09-Obligations, service militaire
11-Denise "la solitude" 5 octobre 66 arrivée de Didier
13-Évelyne Patte jolie coup de cœur
14-Divorce et désaveux de paternité
15-Patricia enfin la femme de ma vie 5 Juin 1976
16-Arrivée de Stéphanie "My daughter, love"
17-Déjà 48 Ans le 20 septembre de cette année 2025 80 ans
18-1981-1998 Groupe Electrogéloz
19 1983 Dernières batailles avec Denise
20-Première, deuxième maisons 2000/2014 le feu..
21-Cinq dernières années de travail
22-La retraite 2005 et la participation à trop d'associations
23-Patricia avait eu un grave cancer
24-Je les est aimés, mes gd-mères mes tantes et oncles "Dédé et Suzanne" etc.
25-Hommage à Dominique notre frère.
27-Mes enfants et petits-enfants "pas encore d'article"
28-Ils se sont mariés Stéphanie & Boris
29-Didier Monnéry 5 Octobre 1967-27- Août 2018
30-Repas cadeau de nos enfants châteaux de Ferrière
31-Le 5 Juin 2026 nous fêterons nos 50 ans de mariage
32- 9 Mai 2024 Anniversaire 70 ans Patricia
33-Résumé photos, plus. Le monde en 80 ans
34-En résumé de cette vie qui est la mienne
35-Nouvelles trouvailles Généalogiques
37-Un résumé des textes de mes pages






























