dimanche 1 juin 1975

13-Évelyne Patte

 Moi bof 
Elle était belle mon Evelyne 
Christophe Bougenot  3 ans (DCD à 20 ans) ici avec mon fils Didier 6 ans

Séparation et divorce très compliqué avec Denise

Evelyne Patte jolie rencontre elle travaillait dans le dix-septième arrondissement comme moi, au début nous nous voyons très simplement nous parlions de tout et de rien, ce qui avait dû nous rapprocher c'est sans doute un livre l'exorcise, elle lisait aussi ce bouquin, nous n'avions pas encore vu le film pourtant au box office. 

Evelyne et moi en 1973 

 Cinq-ans pour divorcé

Evelyne avait étés la pour m'aider, oui heureusement elle travaillait comme comptable dans une entreprise d'emballeur layetier d'objets d'art, je n'avais pas honte de dire, qu'elle avait un très bon salaire, alors dès les premiers jours elle m'a tendu la main, je ne lui avait rien caché sur ma vie avec Denise et nos divers déboires, je dois reconnaître qu'il y avait des mois, où je ne pouvais rien apporter à notre couple, entre les avocats, les avoués, les changements de palais de justice et la pension des enfants ma  paie ne suffisait pas, elle me prêtait un peu beaucoup passionnément, si j'ose dire.

Denise m'avait pourrit la vie, sa vengeance fut terriblement insurmontable, {merci à elle} j'ai visité au moins trois villes, surtout leurs palais de justice, Paris, Créteil  enfin celui de la ville de Pontoise, je ne comprenais  pas cet acharnement.

A chaque ville les avocats refusaient de poursuivre le dossier, je payais pour rien, les voleurs c'est gens là me disais je.

 Abandons d'enfants, pour une femme ce n'était pas grave à cette époque à bon ! ! !

 Et voilà le pire, comme chaque jour je prenais mon travail à huit heures du matin une journée comme les autres, avant d'aller au travail  avec Evelyne nous allions prendre un petit café ensemble, dans la brasserie entre nos deux boulots.

Début de journée, notre responsable de service monsieur Gillet, donnait le travail à chaque chef d'équipe (une table trois personnes un chef de table, où d'équipe) première étape,         

démaculage du travail de la veille, (je reviendrais sur ce mot démaculage *ici*) Au environ de onze heures je ne m'en souviens plus exactement, Monsieur Gilet qui était à la réception avec un client, reviens vers moi tout bizarre, va vite au portail une personne veut te voir, j'ôte vite mon tablier, ma blouse et arrive devant l'entrée, Didier et Ghislaine étaient là en cris et larme, leur mère venait de les abandonner, déjà loin elle courait sans se retourner.

 J'ai été m'habiller en vitesse, j'ai retrouvé les enfants, direction Gagny, la mairie aux bureaux des assistantes sociale, j'étais complètement abasourdi, je m'attendais à tout sauf à ça.

  Je m'étais expliqué sur ma situation du moment, mon hébergement chez une amie depuis notre séparation <<je vous passe les détails de mes explications avec les services sociaux>> ils ont trouvé très vite une famille d'accueil en Normandie, vers dix-huit heures un chauffeur de la petite enfance nous avait emmenés dans cette famille, je l'avais accompagné pour rassurer les enfants,  Denise leur avaient fait, un petit bagage de fortune, je vous jure que j'étais très mal et les enfants pas mieux, quel traumatisme pour eux, j'en avais conscience, j'étais certain que leur vie serait marqué, par se triste jour.

 Trois heures après nous sommes arrivées, dans cette famille d'accueil, les enfants étaient à bout de forces, durement touché par cette dur journée ils ce sont écroulés très fatigués, si bien qu'ils ne c'étaient pas doutés de mon départ, entre temps bien sûr j'avais appelé Evelyne, pour lui raconté l'affreuse histoire, de cette journée.

Au retour elle m'attendait, elle m'avait pris dans ses bras je pleurai, mes nerfs avaient lâché.
Le lendemain retour à Gagny, j'avais étés déposé une main courante, pour abandon d'enfants après retour à la Mairie pour les formalités au bureau d'aide sociale, avec l'espoir d'avoir une aide pour la garde des enfants, aide que j'avais obtenu, si peu soit-elle, elle fut directement versée  à la famille d'accueil, je complétais chaque mois. 


Je les appelaient régulièrement, je les est pris plusieurs week-end avec moi, mais Evelyne n'acceptait pas Ghislaine et pour Didier elle le tolérait tout juste alors au final j'allais les voir seul.


Ghislaine qui commençais à se rendre compte de la situation  ne souhaitait plus venir avec moi, d'avoir appris que je n'étais pas son père, fut sans doute un traumatisme supplémentaire pour elle j'avais supposé.


Ghislaine ne voulait plus venir avec nous nous elle préférait rester dans sa famille d'accueil.
Alors avec l'aide des services sociaux d’Aubervilliers, j'ai été rechercher Didier pour l'avoir plus proche de moi je les fais placer dans une autre famille.

Cette nouvelle famille  habitait dans cette grande tour appelé la tour Pariphérique, elle donnait "donne toujours d'ailleurs" devant le boulevard circulaire "le périphérique", Didier n'avait plus grand chose comme affaire valable, je ne m'en étais pas rendu compte, mais il avait beaucoup grandi, avec Evelyne nous l'avons rhabillé complètement.


La photo doit être de 1973 il devait avoir 6 ou 7 ans et Christophe 3 ou 4 ans.


 Tout les deux en Marin le petit Christophe et Didier
Christophe ces tué peu de temps après avoir eu son permis de conduire.

Mon fils Didier viens de mourir d'un cancer après de longues souffrances ce 28 Août 2018 à
50 ans je lui ferrait une page spécial.


1972 Mariage Raymond 


Mariage Danielle 1974

 Enfin mon fils était près de moi chaque week-end nous passions de merveilleux moments ensemble, mais chaque fois que je le ramenais c'était l'horreur des cris des pleures encore et encore, j'en avais vraiment marre.

Malgré tout ça, une bonne nouvelle, enfin j'avais eu mon permis, après trois essais, un premier à l'armé, mais j'avais été piégé en civile c'était interdit à cette époque tu es militaire tu devais resté en militaire "les cons", donc je n'avais pas pu passer mon permis. 




Deuxième essais, je l'avais passé quand j'étais avec Denise, à cette époque c'était dans la voiture et beaucoup à la tête du client, voir même avec des dessous de table et la complicité de l'auto école c'est comme ça que René mon frère l'avait eu comme ça certainement.

 Di-Maria il s'appelait l'inspecteur, un pied-noir, un vrai vice lard  sous sa seule volontés, il jouissait c'était certain, de voir trembler le candidat dans la voiture, je n'avais pas trop mal répondu à ses questions, mais pour le parcours, j'étais en panique complète, calé recalé.

Je le voulais ce putain de permis, Evelyne m'avait offert un 33 tours sur le permis conduire, comment réussir son permis, moi des bouquins, à fond dedans du rabâchage jour et nuit, des cassettes V H F, le permis c'était une grille avec quarante ou cinquante questions sur un écran où passait quatre mises en conditions du code routier, il fallait mettre une croix, sur la ou bien les,         
cases A, B, C, D.

"Di-Maria" "encore lui" était l'inspecteur principal de l'épreuve enfin convocation à la sous préfecture du Raincy dans le 93,  début de l'épreuve, quelle chance je voyais tout ce que j'avais appris par cœur, dernier tableau fin de l'épreuve enfin, arrivée devant mon tortionnaire, il a posé son transparent de contrôle sur ma grille, grrrr une fois deux fois, d'un seul coup il se lève et hurle tous  fière, hé les amis, j'ai un zéro faute là, je n'y croyais plus, sur cinquante candidats le seul à faire zéro faute, je n'en revenais pas, j'ai eu mon papier pour passer la conduite, que j'avais eu en deux passages.

Qui m'avait passé la conduite cette nouvelle, première fois "DI-Maria", il m'avait dit c'est pas mal, mais il vous manque encore un peu de conduite, la Haine il ne comprenait pas, qu'avec sa gueule de métèque de juif errant de pâtre grec 
(chanson de George moustaki -Le Meteque) il ne devait pas se rendre compte qu'il foutait la trouille au candidat.

Deuxième passage, après plusieurs leçons de plus, je suis enfin tombé sur un autre inspecteur, tout s'est bien passé j'étais gonflé à bloc, de toute façon il ne c'était  pas occupé de moi, il discutait avec le moniteur de l'auto école, un ami à lui tien donc, un moment il me dit allé à droite, zut zut zut je vais à gauche et oui je suis ambidextre, pas grave m'avait-il dit, rattraper plus loin trente minutes après je me suis dit bon bah c'est foutu, il sort un carnet jaune, le pose et prend, le carnet rose, hourra  après quelques notes, il m'avait donné mon papier en me disant, bon je vous fais confiance je vous le donne, ouf enfin j'avais mon permis  de conduire.

Le père d'Evelyne nous avait offert sa vieille deux chevaux elle tombait trop souvent en panne, alors nous avions trouvé une belle R8, pas trop chère. 


Nos vacances que dans le sud est ou sud ouest 

La mère d'Evelyne avait de la famille des deux côtés, une année à droite l'autre à gauche, première année de permis la Camargue, en Renault 8 Majeur, avant c'était soit le train ou tassé dans la voiture du père.

Condamnation après avoir rendu à leur mère ses enfants
 
(jugements *ici*)

    J'avais été condamné pour avoir rendu à une mère ses enfants, qu'elle avait pourtant abandonnés, quatre ans plutôt, une mère indigne de ce nom et qui n'était jamais survenue à leurs bien-être, en plus j'avais étés condamné pour avoir adopté une fille qui n'était pas de moi, mais issus d'un viole par un marchand de tapis malvoyant "en plus" je l'appris bien plu tard, alors à mon tour je me sentais violé, par la justice, qui avait profité de ma faiblesse, pour me donner l'estocade.  
  
   Je trouvais que le juge n'y avait pas étés avec le dos de la cuillère, j'étais devenu un voyou et elle recevait des lauriers c'est ça la justice.
 
J'ai assisté à des jugements en tant que Juré, oui c'est ça les jurés, sont bidons c'est le juge qui leur donne son avis pour les jugements, il est trop juge et,  parti forcément les jurés suivent le juge, presque à chaque fois.

   Oui j'en avais voulus à ce ou ces juges de ne pas avoir  tenu compte, que moi je ne les avais, pas mis dehors et encore moins laissé sans rien, je m'étais battu pour leur bien-être, même si ce n'était pas parfait.

  Moi j'avais étés condamné à payer chaque mois 500 francs 76,22 euros, elle à cent francs 15,24 qu'elle  n'avait pratiquement jamais payé.

   Ce jugement m'avait achevé, mais il avait aussi eu raison de mon couple avec Évelyne.


Foire du trône en juillet 1975 j'avais tenu promesse je couperai ma moustache si avec Evelyne notre histoire prenait fin.
Oui, ce n'était pas encore complètement la fin, mais ça n'en était pas loin nous en avions parlé longuement et puis Evelyne était très portée sexe moi je n'assurais plus trop je n'étais vraiment pas à la hauteur alors elle allait ailleurs, je ne souhaite pas salir sa mémoire, car c'était vraiment une, chic fille j'avoue lui devoir beaucoup.
Evelyne était atteinte de Rhumatisme  Articulaire Aigu, elle m'avait appris sa maladie et aussi comment agir en cas de crise.

Le R A A est une affection auto-immune et on considère que les principales cibles, sont articulaires et cardiaques, résultent d'une analogie entre le streptocoque Hémolytique du groupe A et ces tissus.

 j'avais donc pour elle appris à faire les piqûres intramusculaire, alors dès qu'elle avait une crise qui se manifestait par des contractions musculaire, des blocages avec de très forte douleurs, également cardiaque, alors vite il lui fallait une piqûre extencilline, ça la fatiguait beaucoup elle allait s'allonger le temps que la piqûre réagisse, elle avait toujours sur elle de quoi faire une piqûre.

Une dernière avant de fermer cette partie de ma vie, un ami d'enfant la pilonnait sans cesse il la voulait, mais par deux fois elle en avait préféré un autre, quand nous nous sommes séparé elle avait dit qu'elle irait avec lui, de toute façon rien ne m'empêchera de voir ailleurs.

J'avais trouvé une petite location proche de mon travail, rue Legendre nous avons continué de nous voir encore quelques mois pour le sexe bien sur il est vrai que j'aimais beaucoup faire l'amour avec elle, je n'ai pas rencontré de femme avec la même fougue.


Il avait fallu que je fasse un choix l'aquarium et mon tableau ou la Renault 8 Majeur j'ai choisi la R 8  avec quelques regret.


Et puis est arrivée celle qui aujourd'hui partage ma vie depuis quarante ans.

MAIS NON PAS LA VOITURE

Evelyne avait accepté avec ses parents qui poussaient derrière, de se marier avec son ami d'enfance "un catholique limite intégriste" la pauvre, avec elle il n'aura pas la loi. 

lundi 19 mars 1973

12-Les procédés Dorel

http://lafabriquedeparis.blogspot.com/2011/07/les-procedes-dorel-rue-de-tocqueville.html

Lucien Monnéry 14 h gélatinographie \ʒe.la.ti.nɔ.ɡʁa.fi\ féminin ) |} https://commons.wikimedia.org/…/File:1-Moi-et-collegues_de_… La Gélatinographie est né en 1920/21 Le procédé est pas si simple c'est le principe de la lithogravure à la différence que le support est de la gélatine, mais pas que de la gélatine. La formule exacte est resté longtemps secrète, vendu à plusieurs ateliers de reprographie, un peu comme une potion magique. La formule: Des paillettes de gélatine (image[1])du sulfate de fer Agar-Agar pour , du fiel de bœuf (c'est un agent mouillant, mais aussi un anti tachant) et enfin pour que la composition soit éclaircie, de l'alun(sources Wikipédia) pour finir de l'eau très peu. Un calque insolé dessus un ferroprussiate, est lissé sur la matière coulé sur une plaque relevé à 90° par un système de crémaillère, coulé chaude grâce à un seau de 15/20 litres, une grande partie reste sur la plaque, le reste tombe dans une gouttière et un seau, la plaque est descendu rapidement la gélatine se fige très vite, grâce aux plaques de marbre sous le zinc et l'eau réfrigéré, un système de bac avec un circuit de tube noyé refroidit le marbre, et de surcroît la plaque de zinc Le lissage du ferroprussiate sur la gélatine: la réaction donne sur la gélatine le Ferro tanne la gélatine, le graphisme du plan est reproduit a l’envers pour une impression sur papier. Encrage et impression: avec un rouleau qui servait déjà pour l'imprimerie le gélatineur encrait le dessin tanné grâce aux composant eau, fiel, et agar agar, seul les trais s'encrait, après nettoyage de quelques imperfection (appelé pétouilles) un petit coup d'encrage et l'opérateur appliquait (lissait) sur la gélatine un support papier en général de bonne qualité, que l'ont appelait tirage. Possibilité avec se procédés d’impression de support multiple(intercalaires, chemises cartonné avec sangle, en noir et en couleur multiple). Ce procédé avait permis l’impression de plans de réseaux de plusieurs mètres de longueur pour la voirie, les conduits, de gaz, d'électricité et du téléphone la liste est très longue.



Une algue qui a deux rapport avec mon article sur Wiki dictionnaire

C'était le début de la reprographie
un Ferroprussiate
(BLEUE
)

Une première copie d'argentique 
sur ferroprussiate


Mes anciens collègues Gélatinographie, je suis le deuxième
à gauche avec le rouleau pour l'encrage  

Je suis l'auteur de cet article sur Wikipédia

gélatinographie \ʒe.la.ti.nɔ.ɡʁa.fi\ féminin
Reproduction photographique sur gélatine. Le papier calque autorise en outre une reproduction pratiquement illimitée par tirages héliographiques ou par la gélatinographie, des dessins sur transparent qui permettait de retravailler, dʼarchiver, de distribuer un grand nombre de bonnes copies du dessin original. 

Précis de dessin dynamique et structural des industries lithiques préhistoriques, 1976). J'ai appris et pratiqué ce métier à partir du 16 mai 1961 à 1967 chez Industria, (comme Gélatineur) de janvier 1967 à 1981 Chez Dorel l'inventeur du procédé en 1920. comme (Doreliste gélatineur) Avant Dorel pour sortir un plan la méthode c'était les bleues (DEF – Produit chimique constituant un mélange de ferrocyanure de potassium et de citrate ferrique, employé dans les papiers servant à la reproduction de plans. 

Source stage de photo artisanal La technique était simple un architecte dessinait sur un transparent (appelé calque) l'atelier posais ce plan sur le ferroprussiate papier épais à cette époque (recouvert d'une liqueur jaune citron(voir DEF ci-dessus) étalait en plein soleil un temps déterminé par rapport aux tracés du dessinateur, après insolation seul restait sur le ferroprussiate les trais, il suffisait alors de tremper le papier dans l'eau (la réaction) le fond du papier devenait bleue les trais blanc ensuite cette reproduction était séchée.

Felix Dorel (Maison) |} La Gélatinographie est né en 1920/21 Le procédé est pas si simple c'est le principe de la lithogravure à la différence que le support est de la gélatine, mais pas que de la gélatine. 

La formule exacte est resté longtemps secrète, vendu à plusieurs ateliers de reprographie, un peu comme une potion magique. La formule: Des paillettes de gélatine (image[1])du sulfate de fer Agar-Agar pour , du fiel de bœuf (c'est un agent mouillant, mais aussi un anti-tachant) et enfin pour que la composition soit éclaircie, de l'alun (Les sources de Wikipedia son complètement erroné impossible d'imposer ma version  de la Gélatinographie ce truc est trop compliqué) pour finir de l'eau très peu. Un calque insolé dessus un ferro-prussiate, est lissé sur la matière coulé sur une plaque relevé à 90° par un système de crémaillère, coulé chaude grâce à un seau de 15/20 litres.

Je suis à droite juste devant mon collègue, 

je regardai avec lui le résultat d'un travail,  chef d'équipe à cette époque

 Une grande partie reste sur la plaque, le reste tombe dans une gouttière et un seau, la plaque est descendu rapidement la gélatine se fige très vite, grâce aux plaques de marbre sous le zinc et l'eau réfrigéré, un système de bac avec un circuit de tube noyé refroidit le marbre, et de surcroît la plaque de zinc Le lissage du ferroprussiate sur la gélatine: la réaction donne sur la gélatine le ferro tanne la gélatine, le graphisme du plan est reproduit a l'envers pour une impression sur papier. 

Encrage et impression: avec un rouleau qui servait déjà pour l'imprimerie le gélatineur encrait le dessin tanné grâce aux composant eau, fiel, et agar agar, seul les trais s'encrait, après nettoyage de quelques imperfection (appelé pétouilles) un petit coup d'encrage et l'opérateur appliquait (lissait) sur la gélatine un support papier en général de bonne qualité, que l'ont appelait tirage. 

Possibilité avec se procédés d'impression de support multiple(intercalaires, chemises cartonné avec sangle, en noir et en couleur multiple). Ce procédé avait permis l'impression de plans de réseaux de plusieurs mètres de longueur pour la voirie, les conduits, de gaz, d'électricité et du téléphone la liste est très longue.

Je réparais, la machine de Gina en panne 

https://fr.wiktionary.org/wiki/Discussion_utilisateur:Monn%C3%A9ry
Moi je voudrais enfin que mon vieux métier soit reconnu par votre truc une bonne fois pour toute j'ai été 20 ans Gélatinographie je le prouve avec photo alors comme votre truc me prend la tête je cherche à faire valoir un métier issu de procédés naturel et chimique 
LA GELATINOGRAPHIE inventé en 1920/21 par Felix Dorel ses ateliers se trouvaient 17 rue Turquetil Paris 17 eme ....
gélatinographie \ʒe.la.ti.nɔ.ɡʁa.fi\ féminin ) |} 
La Gélatinographie est né en 1920/21 Le procédé est pas si simple c'est le principe de la lithogravure à la différence que le support est de la gélatine, mais pas que de la gélatine. 
La formule exacte est resté longtemps secrète, vendu à plusieurs ateliers de reprographie, un peu comme une potion magique. 
La formule: Des paillettes de gélatine (image[1])du sulfate de fer Agar-Agar pour , du fiel de bœuf (c'est un agent mouillant, mais aussi un anti tachant) et enfin pour que la composition soit éclaircie, de l'alun(sources Wikipédia) pour finir de l'eau très peu. 
Un calque insolé dessus un ferroprussiate, est lissé sur la matière coulé sur une plaque relevé à 90° par un système de crémaillère, coulé chaude grâce à un seau de 15/20 litres, une grande partie reste sur la plaque, le reste tombe dans une gouttière et un seau, la plaque est descendu rapidement la gélatine se fige très vite, grâce aux plaques de marbre sous le zinc et l'eau réfrigéré, un système de bac avec un circuit de tube noyé refroidit le marbre, et de surcroît la plaque de zinc 
Le lissage du ferroprussiate sur la gélatine: la réaction donne sur la gélatine le ferro tanne la gélatine, le graphisme du plan est reproduit a l’envers pour une impression sur papier. Encrage et impression: avec un rouleau qui servait déjà pour l'imprimerie le gélatineur encrait le dessin tanné grâce aux composant eau, fiel, et agar agar, seul les trais s'encrait, après nettoyage de quelques imperfection (appelé pétouilles) 
Un petit coup d'encrage et l'opérateur appliquait (lissait) sur la gélatine un support papier en général de bonne qualité, que l'ont appelait tirage. Possibilité avec se procédés d’impression de support multiple(intercalaires, chemises cartonné avec sangle, en noir et en couleur multiple). 
Ce procédé avait permis l’impression de plans de réseaux de plusieurs mètres de longueur pour la voirie, les conduits, de gaz, d'électricité et du téléphone la liste est très longue.
Je reviendrais sur cette phase.

Evelyne Patte jolie rencontre elle travaillait dans le dix-septième arrondissement comme moi, au début nous voyons simplement nous parlions de tout et de rien, mais un jour nous que nous lisions le même livre c'est devenu plus fort entre nous. 


dimanche 27 septembre 1970

11-Denise "ou la peur de la solitude" 5 octobre 1966 arrivée de Didier

1966 à 1970 Denise


 Baptême première fille de René je pense en 1970

En bas à gauche ma sœur Danielle, Malou, Jean-Claude, Dominique, Didier juste en face, derrière Dominique la femme à René, dans le landau Marie-Laure, à côté Jean-Michel, je ne reconnait pas les autres à droite.

Nous avions certainement accepté l'invitation puisse-que Didier y était...


Né le 5/10/1967 décédé le 23/08/2018


Ghislaine sa sœur la accompagnée jusqu'à son dernier souffle
La veille de son décès elle lui avait murmurée "Je t'aime mon petit frère il lui avait susurré moi aussi  il est parti en paix très tôt le matin du 23 août 2018" 


Arrivée chez Dorel le 30 Janvier 1967

La gélatinographie voir *ici*

J'avais été voir mon patron monsieur Bodart dans l'espoir d'avoir une petite rallonge de salaire, elle m'avait été accepté, mais tellement minime qu'avec les difficultés qui persistaient et devenaient de plus en plus importante, plus qu'une solution chercher ailleurs une autre entreprise qui faisait de la gélatine.

J'avais alors réussi à me faire embaucher chez Dorel l'inventeur de plusieurs procédés entre autre  la gélatinographie, j'avais  été pris avec un meilleur salaire, que chez Industria.

Seulement voilà que malheureusement Denise avait perdu son emploi et donc décida de garder des enfants avec les nôtres, rien n'y faisais alors notre couple commençait à battre de l'aile dispute sur dispute, je n'en pouvais plus.

J'ai résisté encore deux ans, jusqu'en 1970 et un jour comme un lâche, j'ai quitté le domicile après une très grosse dispute, j'ai fait une valise de tout ce que j'ai pus et malgré ses pardons ses excuses je lui dis non, tu as dépassé les bornes, elle avait dit à Ghislaine c'est de ta faute tout ça, ta gâché ma vie, elle ne comprenait pas la pauvre, à presque sept ans elle faisait encore pipi au lit, le docteur disait qu'elle avait dû être traumatisé par quelque chose peut-être la naissance de son petit frère, Denise portait certainement plus d'attention à Didier qu'à Ghislaine, moi j'aurais voulu quelle reprenne un vrai travail, nous aurions eu moins de difficulté, enfin bon, Ghislaine avait des problèmes aux yeux, un jour elle avait confondu le feu vert à la place d'un rouge à un passage pour piétons et c'était fait renversé, heureusement rien de grave, alors si nous avions travaillés à deux nous aurions pus faire mieux, sans aucun doute. 

J'avais rencontré Evelyne dans le métro et je ne voulais pas rater cette nouvelle histoire contre une qui était foutue, alors elle m'avait ouvert les bras ce jour-là, je dirais même, pas que les bras.

Je lisais debout l'exorciste elle aussi alors cela nous avait rapproché surtout quand on vivait tous les deux une horreur, ma femme qui me pourrissait la vie et elle qui avait surpris son mari au lit avec un ami, elle l'avait foutu dehors avec son amant, découvrir son mari Homo à cette époque la honte.

Quelques jours après notre rencontre nous avons été voir ce film culte du moment ensemble.

12-Les Procédés Dorel. A suite--->

samedi 26 septembre 1970

10-Enfin adulte

10-En10-Enfin adulte

Mon service militaire en 1964/65




Cérémonie militaire a Châteauroux  64/65

Je viens de réécrire ce passage de ma vie après une fausse manœuvre j’avais perdu tous mes écrits sur cette dixième page.

Je vais tout de même revenir sur mon service militaire.

      Cette période  je dois le redire m’avait libéré et surtout émancipé de mes parents.                                Mon service militaire ce n’était pas trop mal passé, mis à part cette misère que m’avait faite une pourriture de  sous-officier,  je me dois vous en parler car ça m’avait  profondément marqué, aujourd’hui encore  c’est resté dans  ma  mémoire.

Donc voilà, après mon stage d’apprentissage de deux mois à Tour pour devenir  coiffeur,  et plusieurs semaines  de pratique  sur les cheveux  de camarades tout allait bien jusqu’au jour où ce connard de sergent-chef est venu dans la pièce vétuste qui me servait de salon, qui se trouvait juste à côté du poste de garde,  comme mes  autres camarades  je lui est coupé les cheveux comme je l’avais appris… c’est-à-dire court ce ! ! !  Malgré sa demande « pas trop court » il m’en a voulu,  pourtant la coupe que je lui avais faite  était conforme au règlement ! ! !  Et non je ne l’avais pas compris monsieur voulait garder ses cheveux plus long, il ne m’avait rien dit directement, mais m’avait pris à part pour se plaindre pour lui je l’avais mal coupé, après  ce jour je suis devenu sa tête de turc, je ne peux pas vous dire toute les saloperies qui m’a fait subir corvée de chiotte, de cuisine, de chambre    e t c.

  Un jour je suis allé en ville en  quartier libre, {une permission en quelque sorte} nous avons  rencontré  des amis ricains au centre-ville  de Châteauroux près de la gare juste face au faisan doré, le lieu où tous les jeunes se réunissaient, ce jour-là je  n’avais pas eu de chance pourtant mes camarades m’avaient crié courons il y a la PM  « police militaire » il faut s’avoir que à cette époque nous ne devions jamais quitter nos tenues militaire et oui nous avions bravé l’interdit nous sommes sortis  en civil.

A mon tour j’ai essayé de fuir je fus très vite rattrapé et arrêté pas de chance pour moi le chef de la police militaire pour les Français était le sergent. Il m’avait raccompagné directement en cage {la prison} motif sorti en ville en civile, comme j’avais refusé de dénoncer mes amis le commandant avait doublé ma peine de huit jours de salle de police à dix jours de prison avec obligation de corvées, la journée et planton la nuit devant l’entrée de la caserne « c’était dur » je dormais deux heures , montais la garde deux heures  debout sans bouger grrr,  un enfer je lui en ai voulu à cette ordure.

Je n’ai fait que huit jours au total car il y avait eu de grosses inondations dans les champs,  les récoltes de maïs était compromise c’est alors qu’une comtesse  avec l’aide de la préfecture avait demandé que l’armé vienne sauver ce qui pouvait être sauvé dans les champs de ses métayer,   

L’eau la boue les mains les pieds dans cette merde, pas grave j’étais enfin à l’air libre et puis nous couchions à la ferme bien nourrie, après quelques jours nous avions sauvé plus de la moitié de la récolte.

 Mes camarades ont eu le droit à une petite enveloppe par la patronne des métayers  moi rien pas grave, mais je fus appelé dans le bureau du Capitaine qui me signifia que ma peine était ajournée, et que fini  la coiffure,  je deviendrai un soldat comme les autres « pas grave m’était-je dit… il ne me reste que trois mois à faire ».

Ma vie sexuelle à l’armée

 

Le comble de tout ça c’est que j’avais rencontré une gentille petite coiffeuse je  l’aimais bien,  c’était  juste après une petite portugaise qui travaillait chez des bourges, à cette époque j’étais assez maladroit avec les filles alors avec  elle je n’ai pas bien compris ce qu’elle souhaitait bien sur elle voulait coucher, mais pas dans la chambre de ses patrons qui étaient  en voyages pour deux trois jours.

Je lui avais demandé faute de chambre de s’allonger sur le carrelage du couloir, je me souviens qu’elle avait des petits seins dans un léger soutien-gorge  et bien dur, je l’ai avais caressé en faufilant mes mains dans son corsage serré,  finalement je n’ai rien fait quand je suis descendu  dans sa petite culotte elle avait retenu ma main non je ne veux pas je suis vierge je veux le rester jusqu’au jour de mon mariage je m’étais dit,  c’est comme ça ! ! ! Je n’avais  pas été plus loin, on s’était embrassé en la quittant,  je ne l’avais plus revu.

Avec mon meilleur « pote zut je ne me rappelle plus de son prénom » en se baladant en quartier libre  on avait rencontré deux drôles de dames que l’on s’était  partagé « deux  vieilles d’une vingtaine d’années de plus que nous »  elles cherchaient du sexe jeune,  alors ça avait été très chaud, pourtant je l’avoue ici, j’avais  eu beaucoup de mal à bander, c’était des expertes et après une heure ou deux ça avait été ‘’waouh’’.

Ah oui  une autre  encore.. . Mon pote il avait rencontré une nana bizarre  le truc de cette fille était quelle ne jouissait que avec des gifles mon pote me l’avait offert car il ne supportait plus s’est manière pour jouir, comme moi ça faisait au moins trois mois que je n’avais rien fait avec une fille alors j’ai suivi c’est conseil « je vous passe les détails » après deux trois gifles elle avait pris son pied et moi aussi hi hi  a deux cent à l’heure.

Le temps a passé ! ! !  Bientôt la quille.

Pourtant notre capitaine « Tricotait s’était son nom » avait prévu un combat inter armée avec les Américains de la base militaire de Châteauroux « DEOLE »

Nous avions eu plusieurs entrainement de simulacre de combat, mais là ça été vraiment moins cool surtout à la veille de notre libération avec  cinq autres de ma classe (la 64 2B) mon pote compris, nous avions réussi à nous planquer dans une ferme,  le fermier était trop sympathique nous lui avions dit que nous étions libérable alors il nous avait hébergé dans sa grange planqué dans le foin ça pétaradait dehors nous sommes resté la nuit  entière, notre hôte nous avait réveillé à cinq heure du mat en nous disant que dehors c’était calme, que nous devions partir, nous avions marché à couvert vers notre unité nos camarades avaient battu les Ricain ah ah ha ! ! Avons-nous fait.

Donc le  lendemain matin rencontre du Capitaine avec ses félicitations pour notre victoire contre les Ricains « qui avaient s’emble t’il rien à foute de gagner ou perdre.

Le capitaine nous a remis nos diplômes de bonne conduite et nous a souhaité bonne chance pour notre retour dans la vie civil, après être passé à l’économat pour restituer  nos  paquetages « la chance le mien  était complet ce n’était pas le cas pour tous».

Tous les cinq nous avions passé la grille de la caserne avec le salut des gardes, quel merveilleux souvenir, chacun est parti de retour dans la vie civil et les emmerdes à venir ! ! !


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