jeudi 17 mars 1983

19-1983 Dernière bataille avec Denise

1982, Regard de Denise sur sa vie passée


  C'est sûr que quand on a pas eu la vie que l'on souhaitait et qu'un jour ont se rend compte que son ex mari a une vie bien rangé, il était temps de le réveiller, alors qu'elle avait tellement bourré le crane de son fils, qui en était arrivé à confondre père "le géniteur" à son pseudo "beau-père" l'amant de sa mère, avec qui elle ne passait que des moments de plaisir, amant qui s'arrangeait pour être bien avec le fils en payant, pour réparer ses conneries, de trafiques en tout genre.

Il avait tiré un trait sur son vrai père et refusait de le voir, qui pourtant pas une seule fois avait manqué, contrairement à elle, à ses devoirs et avait toujours payé la pension pour Ghislaine et pour lui.

Plusieurs fois j'étais allé le chercher chez sa mère celle-ci m'avait dit qu'il devait être dans un café, alors excédé avec Patricia nous l'avions cherché dans tous les bars du coin, jusqu'à dans une petite rue où nous avions remarqués plein de jeunes devant la porte, il était ici, égaré perdu à 15 ans, certainement alcoolisé, drogué, il m'avait dit, qu'il ne voulait pas me voir et aller se faire chier chez moi, c'était vraiment trop dur, jamais il ne m'avait parlé comme ça, il n'était plus le gentil fils, bien sage très réservé, je ne le reconnaissais plus.

Elle avait osée en 1982 faire une demande d'augmentation de pension pour les deux enfants entre autre pour sa fille, j'avais reçue du tribunal des affaires familial cet avis, je devais donc payer le double et bien non.

Ghislaine n'allait plus à l'école et elle allait avoir 18 ans, donc je n'avais plus à payer pour elle, Didier restait moins de trois ans.

Ma voisine avocate, avait plaidée, pour que Ghislaine soit désavouée, un désaveux de paternité dans les règles, j'ai eu aucun problème à obtenir les témoignages et preuves pour ce désaveux.






 En mars 1983 Ghislaine ne s'appelait plus Monnéry, mais avait repris le nom de sa mère  Gayvrama.

Le drame pour Ghislaine c'est que cette triste histoire qui se répétait et avait déjà eu lieu en 1962, quand Denise était revenue de Madagascar enceinte, sa mère l'avait foutu  dehors, alors pourquoi avait elle  fait la même chose pour sa fille avant ses 18 ans, "c'était vraiment dégueulasse", jeté une deuxième fois dans la rue, rappelez vous, heureusement la famille de son petit ami avait bien voulu l'accepter dans son état.

J'avais appris tout cela par l'avocate, pour la pension je ne devais plus rien pour Ghislaine, alors Denise surprise de ne recevoir que la moitié de la pension réévaluée, avait engagée une nouvelle procédure contre moi.

J'avais reçu d'un huissier de justice une mise en demeure, de payer la totalité de la pension, celui-ci fut par mon avocate prévenu de la procédure en cours contre la plaignante.


Il avait fallut le mariage de notre fils Didier, pour que Denise retrouve sa fille Ghislaine 
{La première à gauche}, mais la punition fut qu'elle ne pu rencontrer c'est deux petits enfants que Ghislaine avait eu avec celui qui l'avait accueilli bras ouvert alors que sa mère l'avait foutu dehors.

 De cette belle union était née ma première petite fille (Mélanie)

2 commentaires:

  1. Ces fais sont authentique, mais il est possible qu'avec les années, ils soit un peu éloigné de la vérité.

    RépondreSupprimer
  2. Mélanie à son tour après le divorce de ses parents a vécue jusqu'à ce jour sans père qui comme sa mère a refusé de payer le moindre centime pour sa fille Mélanie très traumatisée par le manque d'affection de son père, protégée par sa mère, m'avait également rejetée. Je me suis démêlé pour renouer avec elle enfin elle a acceptée de me rencontrer, mais les blessures sont tenaces et je comprends quelle protège son intimité contre un grand-père quelle n'a pas beaucoup connu

    RépondreSupprimer

01-Accueil, Cette vie qui est la mienne