Moi bof
Elle était belle mon Evelyne
Christophe Bougenot 3 ans (DCD à 20 ans) ici avec mon fils Didier 6 ans
Evelyne Patte jolie
rencontre elle travaillait dans le dix-septième arrondissement comme moi, au
début nous nous voyons très simplement nous parlions de tout et de rien, ce qui
avait dû nous rapprocher c'est sans doute un livre l'exorcise, elle lisait aussi
ce bouquin, nous n'avions pas encore vu le film pourtant au box office.
Au retour elle m'attendait, elle m'avait pris dans ses bras je pleurai, mes nerfs avaient lâché.
Cette nouvelle famille habitait dans cette grande tour appelé la tour Pariphérique, elle donnait "donne toujours d'ailleurs" devant le boulevard circulaire "le périphérique", Didier n'avait plus grand chose comme affaire valable, je ne m'en étais pas rendu compte, mais il avait beaucoup grandi, avec Evelyne nous l'avons rhabillé complètement.
Le père d'Evelyne nous avait offert sa vieille deux chevaux elle tombait trop souvent en panne, alors nous avions trouvé une belle R8, pas trop chère.
Séparation et divorce très compliqué avec Denise
Evelyne Patte jolie
rencontre elle travaillait dans le dix-septième arrondissement comme moi, au
début nous nous voyons très simplement nous parlions de tout et de rien, ce qui
avait dû nous rapprocher c'est sans doute un livre l'exorcise, elle lisait aussi
ce bouquin, nous n'avions pas encore vu le film pourtant au box office.
Cinq-ans pour divorcé
Evelyne avait étés la pour m'aider, oui
heureusement elle travaillait comme comptable dans une entreprise
d'emballeur layetier d'objets d'art, je n'avais pas honte de dire,
qu'elle avait un très bon salaire, alors dès les premiers jours elle m'a
tendu la main, je ne lui avait rien caché sur ma vie avec Denise et nos
divers déboires, je dois reconnaître qu'il y avait des mois, où je ne
pouvais rien apporter à notre couple, entre les avocats, les avoués, les
changements de palais de justice et la pension des
enfants ma paie ne suffisait pas, elle me prêtait un peu
beaucoup passionnément, si j'ose dire.
Denise m'avait pourrit la vie, sa vengeance
fut terriblement insurmontable, {merci à elle} j'ai visité au moins trois
villes, surtout leurs palais de justice, Paris, Créteil enfin celui de la ville de Pontoise, je ne comprenais pas cet acharnement.
A chaque ville les avocats refusaient de
poursuivre le dossier, je payais pour rien, les voleurs c'est gens là
me disais je.
Abandons d'enfants, pour une femme ce n'était
pas grave à cette époque à bon ! ! !
Et voilà le pire, comme chaque jour je prenais
mon travail à huit heures du matin une journée comme les autres, avant d'aller
au travail avec Evelyne nous allions prendre un
petit café ensemble, dans la brasserie entre nos deux boulots.
Début de journée, notre responsable de service
monsieur Gillet, donnait le travail à chaque chef d'équipe (une table trois
personnes un chef de table, où d'équipe) première étape,
démaculage du travail de la veille, (je reviendrais sur ce mot démaculage *ici*) Au environ de onze heures je ne m'en souviens plus exactement, Monsieur Gilet qui était à la réception avec un client, reviens vers moi tout bizarre, va vite au portail une personne veut te voir, j'ôte vite mon tablier, ma blouse et arrive devant l'entrée, Didier et Ghislaine étaient là en cris et larme, leur mère venait de les abandonner, déjà loin elle courait sans se retourner.
démaculage du travail de la veille, (je reviendrais sur ce mot démaculage *ici*) Au environ de onze heures je ne m'en souviens plus exactement, Monsieur Gilet qui était à la réception avec un client, reviens vers moi tout bizarre, va vite au portail une personne veut te voir, j'ôte vite mon tablier, ma blouse et arrive devant l'entrée, Didier et Ghislaine étaient là en cris et larme, leur mère venait de les abandonner, déjà loin elle courait sans se retourner.
J'ai été m'habiller en vitesse, j'ai retrouvé
les enfants, direction Gagny, la mairie aux bureaux des assistantes sociale,
j'étais complètement abasourdi, je m'attendais à tout sauf à ça.
Je m'étais expliqué sur ma situation du
moment, mon hébergement chez une amie depuis notre séparation <<je
vous passe les détails de mes explications avec les services sociaux>>
ils ont trouvé très vite une famille d'accueil en Normandie, vers dix-huit
heures un chauffeur de la petite enfance nous avait emmenés dans cette
famille, je l'avais accompagné pour rassurer les enfants, Denise
leur avaient fait, un petit bagage de fortune, je vous jure que j'étais très mal
et les enfants pas mieux, quel traumatisme pour eux, j'en avais conscience, j'étais certain que leur vie serait marqué, par se triste jour.
Trois heures après nous sommes arrivées, dans cette famille d'accueil, les enfants étaient à bout de
forces, durement touché par cette dur journée ils ce sont écroulés très fatigués, si bien qu'ils ne c'étaient pas doutés de mon départ, entre temps
bien sûr j'avais appelé Evelyne, pour lui raconté l'affreuse histoire, de cette journée.
Au retour elle m'attendait, elle m'avait pris dans ses bras je pleurai, mes nerfs avaient lâché.
Le lendemain retour à Gagny, j'avais étés déposé une main courante, pour abandon d'enfants après retour à la Mairie pour les formalités au bureau d'aide
sociale, avec l'espoir d'avoir une aide pour la garde des enfants, aide
que j'avais obtenu, si peu soit-elle, elle fut directement versée à la
famille d'accueil, je complétais chaque mois.
Je les appelaient régulièrement, je les est pris plusieurs week-end avec moi, mais Evelyne n'acceptait pas Ghislaine et pour Didier elle le tolérait tout juste alors au final j'allais les voir seul.
Ghislaine qui commençais à se rendre compte de la situation ne souhaitait plus venir avec moi, d'avoir appris que je n'étais pas son père, fut sans doute un traumatisme supplémentaire pour elle j'avais supposé.
Ghislaine ne voulait plus venir avec nous nous elle préférait rester dans sa famille d'accueil.
Alors avec l'aide des services sociaux d’Aubervilliers, j'ai été rechercher Didier pour l'avoir plus proche de moi je les fais placer dans une autre famille.
Cette nouvelle famille habitait dans cette grande tour appelé la tour Pariphérique, elle donnait "donne toujours d'ailleurs" devant le boulevard circulaire "le périphérique", Didier n'avait plus grand chose comme affaire valable, je ne m'en étais pas rendu compte, mais il avait beaucoup grandi, avec Evelyne nous l'avons rhabillé complètement.
La photo doit être de 1973 il devait avoir 6 ou 7 ans et Christophe 3 ou 4 ans.
Tout les deux en Marin le petit Christophe et Didier
Christophe ces tué peu de temps après avoir eu son permis de conduire.
Mon fils Didier viens de mourir d'un cancer après de longues souffrances ce 28 Août 2018 à
50 ans je lui ferrait une page spécial.
Enfin mon fils était près de moi chaque week-end nous passions de merveilleux moments ensemble, mais chaque fois que je le ramenais c'était l'horreur des cris des pleures encore et encore, j'en avais vraiment marre.
Malgré tout ça, une bonne nouvelle, enfin j'avais eu mon permis, après trois essais, un premier à l'armé, mais j'avais été piégé en civile c'était interdit à cette époque tu es militaire tu devais resté en militaire "les cons", donc je n'avais pas pu passer mon permis.
Deuxième essais, je l'avais passé quand j'étais
avec Denise, à cette époque c'était dans la voiture et beaucoup à la tête du
client, voir même avec des dessous de table et la complicité de l'auto école c'est
comme ça que René mon frère l'avait eu comme ça certainement.
Di-Maria il
s'appelait l'inspecteur, un pied-noir, un vrai vice lard sous sa seule volontés, il
jouissait c'était certain, de voir trembler le candidat dans la voiture,
je n'avais pas trop mal répondu à ses questions, mais pour le parcours, j'étais
en panique complète, calé recalé.
Je le voulais ce putain de permis, Evelyne m'avait offert un 33 tours sur le permis conduire,
comment réussir son permis, moi des bouquins, à fond dedans
du rabâchage jour et nuit, des cassettes V H F, le permis c'était une
grille avec quarante ou cinquante questions sur un écran où passait quatre mises en conditions du code routier, il fallait mettre une croix, sur la ou bien les,
cases A, B, C, D.
"Di-Maria" "encore lui" était l'inspecteur
principal de l'épreuve enfin convocation à la sous préfecture du Raincy dans le 93, début de l'épreuve, quelle chance je
voyais tout ce que j'avais appris par cœur, dernier tableau fin de
l'épreuve enfin, arrivée devant mon tortionnaire, il a posé son transparent
de contrôle sur ma grille, grrrr une fois deux fois, d'un seul coup il se lève et hurle
tous fière, hé les amis, j'ai un zéro faute là, je n'y croyais plus, sur
cinquante candidats le seul à faire zéro faute, je n'en revenais pas, j'ai eu
mon papier pour passer la conduite, que j'avais eu en deux passages.
Qui m'avait passé la conduite cette nouvelle, première fois "DI-Maria", il m'avait dit c'est pas mal, mais il vous manque encore un peu de
conduite, la Haine
il ne comprenait pas, qu'avec sa gueule de métèque de juif errant de pâtre grec
(chanson de George moustaki -Le Meteque) il ne devait pas se rendre compte
qu'il foutait la trouille au candidat.
Deuxième passage, après plusieurs leçons de
plus, je suis enfin tombé sur un autre inspecteur, tout s'est bien passé j'étais
gonflé à bloc, de toute façon il ne c'était pas occupé de moi, il
discutait avec le moniteur de l'auto école, un ami à lui tien donc, un moment il
me dit allé à droite, zut zut zut je vais à gauche et oui je
suis ambidextre, pas grave m'avait-il dit, rattraper plus loin
trente minutes après je me suis dit bon bah c'est foutu, il sort un carnet
jaune, le pose et prend, le carnet rose, hourra après quelques
notes, il m'avait donné mon papier en me disant, bon je vous fais confiance je vous le
donne, ouf enfin j'avais mon permis de conduire.
Le père d'Evelyne nous avait offert sa vieille deux chevaux elle tombait trop souvent en panne, alors nous avions trouvé une belle R8, pas trop chère.
Nos vacances que dans le sud est ou sud ouest
La mère d'Evelyne avait de la famille des deux côtés, une année à droite l'autre à gauche, première année de permis la Camargue, en Renault 8 Majeur, avant c'était soit le train ou tassé dans la voiture du père.
Condamnation après avoir rendu à leur mère ses enfants
(jugements *ici*)
J'avais été condamné pour avoir rendu à une mère
ses enfants, qu'elle avait pourtant abandonnés, quatre ans plutôt, une mère
indigne de ce nom et qui n'était jamais survenue à leurs bien-être, en plus
j'avais étés condamné pour avoir adopté une fille qui n'était pas de moi, mais
issus d'un viole par un marchand de tapis malvoyant "en plus" je l'appris bien plu tard,
alors à mon tour je me sentais violé, par la justice, qui avait profité de
ma faiblesse, pour me donner l'estocade.
Je trouvais que le juge n'y avait
pas étés avec le dos de la cuillère, j'étais devenu un voyou et elle recevait
des lauriers c'est ça la justice.
J'ai assisté à des jugements en tant que Juré,
oui c'est ça les jurés, sont bidons c'est le juge qui leur donne son avis pour
les jugements, il est trop juge et, parti forcément les jurés suivent le
juge, presque à chaque fois.
Oui j'en avais voulus à ce
ou ces juges de ne pas avoir tenu compte, que moi je ne les avais,
pas mis dehors et encore moins laissé sans rien, je m'étais battu pour
leur bien-être, même si ce n'était pas parfait.
Moi j'avais étés condamné à payer
chaque mois 500 francs 76,22 euros, elle à cent francs 15,24
qu'elle n'avait pratiquement jamais payé.
Ce jugement m'avait achevé, mais
il avait aussi eu raison de mon couple avec Évelyne.
Foire du trône en juillet 1975 j'avais tenu promesse je couperai
ma moustache si avec Evelyne notre histoire prenait fin.
Oui, ce n'était pas
encore complètement la fin, mais ça n'en était pas loin nous en
avions parlé longuement et puis Evelyne était très portée sexe moi je n'assurais plus trop je n'étais
vraiment pas à la hauteur alors elle allait ailleurs, je ne souhaite pas salir
sa mémoire, car c'était vraiment une, chic fille j'avoue lui devoir
beaucoup.
Evelyne était atteinte de Rhumatisme Articulaire Aigu, elle m'avait appris sa maladie et aussi comment agir en cas de
crise.
Le R A A est une affection
auto-immune et on considère que les principales cibles, sont articulaires et
cardiaques, résultent d'une analogie entre le streptocoque Hémolytique du
groupe A et ces tissus.
j'avais donc pour elle appris à faire
les piqûres intramusculaire, alors dès qu'elle avait une crise qui
se manifestait par des contractions musculaire, des blocages
avec de très forte douleurs, également cardiaque, alors vite il lui
fallait une piqûre extencilline, ça la fatiguait beaucoup elle allait s'allonger le temps que
la piqûre réagisse, elle avait toujours sur elle de quoi faire
une piqûre.
Une dernière avant de fermer cette partie de
ma vie, un ami d'enfant la pilonnait sans cesse il la voulait, mais par deux
fois elle en avait préféré un autre, quand nous nous sommes séparé
elle avait dit qu'elle irait avec lui, de toute façon rien ne m'empêchera
de voir ailleurs.
J'avais trouvé une petite location proche de
mon travail, rue Legendre nous avons continué de nous voir encore quelques mois pour
le sexe bien sur il est vrai que j'aimais beaucoup faire
l'amour avec elle, je n'ai pas rencontré de femme avec la même fougue.
Il avait fallu que je fasse un choix l'aquarium et mon tableau ou la Renault 8 Majeur j'ai choisi la R 8 avec quelques regret.
Et puis est arrivée celle qui aujourd'hui
partage ma vie depuis quarante ans.
MAIS NON PAS LA VOITURE
Evelyne avait accepté avec ses parents qui poussaient derrière, de se marier avec son ami d'enfance "un catholique limite intégriste" la pauvre, avec elle il n'aura pas la loi.
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