mardi 30 décembre 1975

14-Divorce et désaveux

Début du divorce 

Après avoir abandonné Ghislaine et Didier devant la porte de mon travail en 1970 j'avais rencontré un avocat, quand il m'avait donnés ses honoraires je suis tombé de haut, mais je ne pouvais rester  dans cette situation d'ambiguïté la petite Evelyne me plaisait bien alors je m'étais dit un jour si nous devions aller plus loin autant être libéré de cette furie "Denise".  


 Enfin un tribunal qui a accepté avec l'aide de cet avoué maître Malherbe de recevoir ma requête comme ils disent, Denise avait donc été condamnée. 


 Elle avait étés condamnée à un droit de visite et une pension de cinquante francs, par enfants elle en avait payé, qu'une seule car je l'avais obligé en retour au tribunal à ce que sa condamnation soit exécutée. 


Elle exerçait, je m'en souviens bien, son droit de visite quand ça l'arrangeait, la famille d'accueil de Normandie qui gardait Ghislaine en avait assez, de ne pas savoir quand elle viendrait, chercher sa fille.


Après l’entrée dans de très grande difficulté et

 la fin de mon histoire avec Évelyne

 En effet à cause de son fils  Christophe, qui ne recevait aucune autorité il n'écoutait personne, alors je commençais de plus en plus à m'engueuler avec Évelyne au début, je lui disais tu ne devrais pas le laisser faire ce qu'il veut, ce gosse ne respecte rien, aucune autorité en plus les parents et  grands parents, d'Evelyne le chouchoutaient et le gâtaient vraiment trop, alors il leurs crachait dans la gueule montait sur la table poussait d'énormes colères personne ne lui disait rien, puis moi j'avais été, avertis de ne pas me mêler de l'éducation de ce  petit monstre.

 Évelyne n'avait jamais acceptée mes enfants et ça c'est la première raison de notre séparation.

 Denise dans le même temps, avait enfin retrouvé un certain équilibre elle avait trouvée un travail après quatre années et un copain routier ,elle pouvait enfin récupérer ses enfants.
 
Après sa demande auprès des services sociaux et des enquêteurs judiciaires ceux-ci  avaient conclus que la mère ne pouvait pas être désavoué, Un nouveau jugement qui ne fut pas en ma faveur, complètement lessivés je lui avait donc proposé de reprendre ses enfants, pour qu'il se retrouve ensemble enfin.

Ghislaine  ne voulait pas vraiment retourner chez sa mère, (je m'en souviens encore elle dit à sa mère de toute façon tu es méchante tu nous as abandonnés) à neuf ans elle avait souffert  de cette séparation, j'en avais la conviction.

Des juges ça non j'avais rendu des enfants à une femme qui les avait abandonnée


J'avais été condamné pour avoir rendu à une mère ses enfants, alors que quatre ans plutôt elle les avait abandonnés. 

Une mère indigne de ce nom et qui n'était jamais survenue à leurs bien-être, sans compter que j'avais été condamné pour avoir adopté une fille qui n'était pas la mienne, mais issus d'un viole par un marchand de tapis malvoyant.

 Ceci était les dire de Denise un aveu quelle m'avait fait au début de notre rencontre voilà, alors à mon tour je me sentais violé par cette justice, qui avait profité de ma faiblesse, pour me donner l'estocade. 

Bien sur j'avais de la haine à cette époque..


Je trouvais que le juge n'y avait pas étés avec le dos de la cuillère, j'étais devenu un voyou et elle recevait des lauriers c'est ça la justice en 1974... 

J'ai assisté à des jugements en tant que juré, oui c'est ça les jurés, ils sont bidons c'est le juge qui leur donne son avis pour les jugements, il est trop juge et partie, forcément les jurés suivent le juge, presque à chaque fois.


Oui j'en avais voulus à se ou c'est juges, de ne pas avoir  tenu compte, que moi je n'avais, pas mis dehors les enfants et encore moins laissé sans rien, je m'étais battu pour leur bien-être, même si ce n'était pas parfait.


J'avais étés condamné à payer chaque mois 500 francs 76,22 euros, elle à cent francs 15,24 qu'elle  n'avait  payé qu'une seul fois.
Ce jugement m'avait achevé, mais il avait aussi eu raison de mon couple avec Évelyne.
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Dernier combat contre la diablesse

Chaque mois pendant huit ans j'ai envoyé en temps et en heure (contrairement à Denise), les Cinq-cents Francs, mais voilà qu'un jour boom, je reçois d'un tribunal une révision de la pension alors qu'il était bien spécifié que cette pension ne devrait pas être révisé sur le coût de la vie.

Mon sang n'avait fait qu'un tour

Elle ne s'était certainement pas attendu à ma réaction, comme par hasard le soir même je rencontre ma voisine, l'avocate comme nous l'appelions, après une longue discussion, j'acceptais un peu à contre cœur ses conseils et  la proposition de faire un désaveu de paternité, je ne savais pas que cela pouvait être encore possible Ghislaine ayant à ce moment-là, dix-sept ans.

Notre voisine l'avocate Martine Sten... souhaitait cinq témoignages, d'amis proches et de la famille,  j'avais eue Alain, ma tante Raymonde qui savait que Ghislaine n'était pas ma fille, Joseph son mari avait été un peu retissant, mais suivi quand même ma tante et enfin Suzanne et Dédé qui n'était pas encore mariés, j'avait donc  eu les cinq témoignages. 
 




 Pour conclure, merci ho toi au fond des ténèbres, pour cette lettre sur papier bleu avec un grand nombre de fautes d'orthographe  et pas les moindres petits vermisseaux de gentillesse, c'est à ce moment que j'ai compris que tu n’étais mon père que comme géniteur.

J'avais rencontré une voyante extralucide, très connue pour des révélations avérées, elle m'avait dit que ma femme allait perdre un parent cher de mort violente, son oncle  Lucien a été tué dans un accident de chasse.

Pour conclure elle m'a dit que mon géniteur n'était  pas celui que l'on pourrait croire, elle voyait des choses qu'elle refusa  de me dire, je voulus  un autre jour la consulter, j'avais eu la tristesse d'apprendre son D C.

j'avais une nuit rêvé que ma mère c'était fait violé par un G I us où un anglais, mon rêve était pas trop précis, bon ce n'était qu'une période là encore de haine, mon père était bien mon père, mais moi je devais certainement être un con d'ado est très dur à géré qui avec le temps  devient encore plus con, mea culpa...



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