10-En10-Enfin adulte
Mon service militaire en 1964/65
Cérémonie militaire a Châteauroux 64/65
Je viens de réécrire ce passage de ma vie après une fausse
manœuvre j’avais perdu tous mes écrits sur cette dixième page.
Je vais tout de même
revenir sur mon service militaire.
Cette
période je dois le redire m’avait libéré
et surtout émancipé de mes parents. Mon service
militaire ce n’était pas trop mal passé, mis à part cette misère que m’avait faite
une pourriture de sous-officier, je me dois vous en parler car ça m’avait profondément marqué, aujourd’hui encore c’est resté dans ma mémoire.
Donc voilà, après mon stage d’apprentissage de deux mois à
Tour pour devenir coiffeur, et plusieurs semaines de pratique sur les cheveux de camarades tout allait bien jusqu’au jour
où ce connard de sergent-chef est venu dans la pièce vétuste qui me servait de
salon, qui se trouvait juste à côté du poste de garde, comme mes
autres camarades je lui est coupé
les cheveux comme je l’avais appris… c’est-à-dire court ce ! ! !
Malgré sa demande « pas trop court »
il m’en a voulu, pourtant la coupe que
je lui avais faite était conforme au
règlement ! ! ! Et non je
ne l’avais pas compris monsieur voulait garder ses cheveux plus long, il ne
m’avait rien dit directement, mais m’avait pris à part pour se plaindre pour lui
je l’avais mal coupé, après ce jour je
suis devenu sa tête de turc, je ne peux pas vous dire toute les saloperies qui
m’a fait subir corvée de chiotte, de cuisine, de chambre e t c.
Un jour je suis allé
en ville en quartier libre, {une
permission en quelque sorte} nous avons
rencontré des amis ricains au
centre-ville de Châteauroux près de la
gare juste face au faisan doré, le lieu où tous les jeunes se réunissaient, ce
jour-là je n’avais pas eu de chance
pourtant mes camarades m’avaient crié courons il y a la PM « police militaire » il faut s’avoir
que à cette époque nous ne devions jamais quitter nos tenues militaire et oui nous
avions bravé l’interdit nous sommes sortis
en civil.
A mon tour j’ai essayé de fuir je fus très vite rattrapé et
arrêté pas de chance pour moi le chef de la police militaire pour les Français était
le sergent. Il m’avait raccompagné directement en cage {la prison} motif sorti
en ville en civile, comme j’avais refusé de dénoncer mes amis le commandant
avait doublé ma peine de huit jours de salle de police à dix jours de prison
avec obligation de corvées, la journée et planton la nuit devant l’entrée de la
caserne « c’était dur » je dormais deux heures , montais la garde
deux heures debout sans bouger grrr, un enfer je lui en ai voulu à cette ordure.
Je n’ai fait que huit jours au total car il y avait eu de
grosses inondations dans les champs, les
récoltes de maïs était compromise c’est alors qu’une comtesse avec l’aide de la préfecture avait demandé
que l’armé vienne sauver ce qui pouvait être sauvé dans les champs de ses
métayer,
L’eau la boue les mains les pieds dans cette merde, pas
grave j’étais enfin à l’air libre et puis nous couchions à la ferme bien
nourrie, après quelques jours nous avions sauvé plus de la moitié de la
récolte.
Mes camarades ont eu
le droit à une petite enveloppe par la patronne des métayers moi rien pas grave, mais je fus appelé dans le
bureau du Capitaine qui me signifia que ma peine était ajournée, et que fini la coiffure, je deviendrai un soldat comme les autres « pas
grave m’était-je dit… il ne me reste que trois mois à faire ».
Ma vie sexuelle à l’armée
Le comble de tout ça c’est que j’avais rencontré une
gentille petite coiffeuse je l’aimais
bien, c’était juste après une petite portugaise qui
travaillait chez des bourges, à cette époque j’étais assez maladroit avec les
filles alors avec elle je n’ai pas bien
compris ce qu’elle souhaitait bien sur elle voulait coucher, mais pas dans la
chambre de ses patrons qui étaient en
voyages pour deux trois jours.
Je lui avais demandé faute de chambre de s’allonger sur le
carrelage du couloir, je me souviens qu’elle avait des petits seins dans un léger
soutien-gorge et bien dur, je l’ai avais
caressé en faufilant mes mains dans son corsage serré, finalement je n’ai rien fait quand je suis
descendu dans sa petite culotte elle
avait retenu ma main non je ne veux pas je suis vierge je veux le rester jusqu’au
jour de mon mariage je m’étais dit, c’est comme ça ! ! ! Je n’avais
pas été plus loin, on s’était embrassé
en la quittant, je ne l’avais plus revu.
Avec mon meilleur « pote zut je ne me rappelle plus de
son prénom » en se baladant en quartier libre on avait rencontré
deux drôles de dames que l’on s’était
partagé « deux vieilles
d’une vingtaine d’années de plus que nous » elles cherchaient du sexe jeune, alors ça avait été très chaud, pourtant je
l’avoue ici, j’avais eu beaucoup de mal
à bander, c’était des expertes et après une heure ou deux ça avait été ‘’waouh’’.
Ah oui une autre encore.. . Mon pote il avait rencontré une
nana bizarre le truc de cette fille était
quelle ne jouissait que avec des gifles mon pote me l’avait offert car il ne
supportait plus s’est manière pour jouir, comme moi ça faisait au moins trois
mois que je n’avais rien fait avec une fille alors j’ai suivi c’est conseil
« je vous passe les détails » après deux trois gifles elle avait pris
son pied et moi aussi hi hi a deux cent
à l’heure.
Le temps a passé ! ! ! Bientôt la quille.
Pourtant notre capitaine « Tricotait s’était son
nom » avait prévu un combat inter armée avec les Américains de la base
militaire de Châteauroux « DEOLE »
Nous avions eu plusieurs entrainement de simulacre de
combat, mais là ça été vraiment moins cool surtout à la veille de notre
libération avec cinq autres de ma classe
(la 64 2B) mon pote compris, nous avions réussi à nous planquer dans une ferme,
le fermier était trop sympathique nous
lui avions dit que nous étions libérable alors il nous avait hébergé dans sa
grange planqué dans le foin ça pétaradait dehors nous sommes resté la nuit entière, notre hôte nous avait réveillé à cinq
heure du mat en nous disant que dehors c’était calme, que nous devions partir,
nous avions marché à couvert vers notre unité nos camarades avaient battu les
Ricain ah ah ha ! ! Avons-nous fait.
Donc le lendemain
matin rencontre du Capitaine avec ses félicitations pour notre victoire contre
les Ricains « qui avaient s’emble t’il rien à foute de gagner ou perdre.
Le capitaine nous a remis nos diplômes de bonne conduite et
nous a souhaité bonne chance pour notre retour dans la vie civil, après être
passé à l’économat pour restituer nos paquetages « la chance le mien était complet ce n’était pas le cas pour
tous».
Tous les cinq nous avions passé la grille de la caserne avec
le salut des gardes, quel merveilleux souvenir, chacun est parti de retour dans
la vie civil et les emmerdes à venir ! ! !
Tu veux la suite, alors attend un peu, j'ai quelques fautes sur cette première partie à revoir et corrigé,
RépondreSupprimerje jure de dire la vérité rien que la vérité, à bientôt...